âge › 27 ans date et lieu de naissance › c’était un le douze d’un doux mois de maiprofession › Responsable d’édition d’un célèbre magazine dédié à la gente masculine et photographe situation amoureuse ›  célibataire (et même divorcé) orientation sexuelle › Les belles âmes situation financière › ça va, il a de quoi payer des coups à boire à toute la ville groupe › Albatros avatar › Matt Smith crédit › de la bannière. @tumblr

si tu devais te décrire en cinq mots, quels qu'ils soient, lesquels tu me donnerais ? › Dandy, Passionné, Sociable, Mystérieux et aussi Boutentrain si tu devais m'emmener loin d'ici, où est-ce qu'on irait ? › Probablement au sommet de Big Ben, derrière le cadran de l’horloge pour siroter un bon verre de vin en essayant de voir la Tamise si tu devais me lire une histoire, laquelle est-ce que tu choisirais ? › Une seule et unique, Le Portrait de Dorian Gray d’Oscar Wilde

Jamie n’est pas son vrai nom, c’est le diminutif de James mais il n’a jamais trouvé le prénom de « James » très intéressant, selon lui, « Jamie » a beaucoup plus de cachet. Oui bon. C’est son avis. Jamie a donc un ego plutôt élevé pour la normale, il n’est pas non plus du genre à se vanter tout le temps mais il a confiance en lui, il sait ce qui le met en valeur et il sait en jouer. Ça compense son petit côté maladroit direz-vous… s’il n’en jouait pas aussi. Monsieur Jamie a deux mains gauches. Mais loin de lui ôter sa confiance, il en rira facilement car il est habitué à se retrouver dans des situations pour le moins comiques. Tiens vous savez du genre à entrer dans une pièce pile au moment où deux tourtereaux vont se bécoter, ou encore à rentrer dans quelqu’un un café à la main et…. Adieu la jolie chemise Hugo Boss. Bon, à part ça, Jamie Valentyne a de l’allure, impossible de le nier, même avec l’auréole de café sur sa chemise hors de prix, il garde toute sa classe. Comment ? Peut-être sa confiance en lui ? Ou alors son aspect sympathique parce-qu’il a toujours beaucoup d’auto-dérision mais aussi le soucis des gens qui l’entourent. Il a toujours un mot gentil pour sa secrétaire à la chevelure de feu (et pas seulement parce-qu’elle est jolie) et aussi pour le mec du courrier qui passe avec son chariot dans les étages tous les matins.

Photographe de formation et par passion, il est aussi un grand fan d’Oscar Wilde dont il s’inspire au quotidien mais duquel il a aussi tiré les erreurs pour ne pas les commettre lui-même. Du coup, il est souvent apprécié, ce qui ne l’empêche pas de s’être fait des ennemis. En effet, être à la direction d’un magazine réputé à seulement 27 ans… ça suscite des tensions…

Jamie n’a pas une histoire toute rose. Il n’est pas fils unique, il n’est pas l’héritier, ni même le deuxième en terme de succession, il n’a pas été choyé ni beaucoup aimé par ses parents. Certes il n’a jamais manqué d’argent mais bon, c’est très accessoire. La jeunesse dorée, il en a profité. A Londres, ça y va. Les grands clubs, l’influence des dandys, tout ça… L’alcool, il le tient moyennement mais ça ne l’empêche pas de boire, son truc c’est le whisky écossais, le meilleur. Parfois, il se demande si son vrai père n’était pas écossais. Sa mère ne lui en a jamais parlé, elle ne lui a jamais vraiment dit que son père n’était pas celui qui avait donné la petit graine d’ailleurs. Il avait surpris une dispute un jour entre ses parents. Il avait 16 ans. Voilà, son père qui n’avait jamais tenté de se rapprocher de lui n’était pas son père. Qui pourrait lui reprocher de ne pas l’aimer du coup ?

De toute façon, ça ne changeait rien à l’héritage. Cela faisait déjà longtemps que James s’était fait à l’idée qu’il serait un self-made-man ou ne serait pas. Alors quand sa mère lui a proposé de partir au Canada terminer ses études de littérature, il n’a pas hésité. Au lieu de se retrouver dans les caniveaux de Londres à force de se rebeller, il serait bien plus tranquille loin de tout ça. Sa valise fut vite prête, il n’avait rien de sentimental mise à part cette édition originale du Portrait de Dorian Gray offert par son frère ainé, le seul qu’il apprécie un minimum. Au lieu de se sentir abandonné, il s’épanouit complètement dans ce nouveau pays et prépara un diplôme de photographie après avoir vite abandonné la littérature qui ne correspondait pas à ses attentes. Ambitieux et imaginatif, il fut vite repéré pour son talent à faire passer des émotions subtiles dans ses clichés. Son caractère agréable et sociable lui permet un très bon feeling avec ses modèles ce qui l’aide à tirer le meilleur d’eux pour leur photo. Il signa vite comme photographe du magazine Time of Men.

L’environnement de Jamie aurait pu faire de lui un homme dur et violent mais peut-être qu’il ne le voulait pas. Le fait est qu’il n’est pas quelqu’un d’influençable alors il a pu devenir quelqu’un d’à peu près stable. Du moins, jusqu’à sa rencontre avec son ex-femme qui lui en a sacrément fait baver. Il était le séducteur dans le couple, et pourtant c’est elle qu’il a retrouvé un jour dans le lit conjugal avec un autre homme. Sans contrat de mariage, le divorce s’est plutôt mal passé et encore aujourd’hui, il préfère ne pas croiser la route de celle qui lui a brisé le cœur. A l’époque, il était photographe pour le Time of Men. Il en est, depuis, devenu le directeur grâce à une implication passionnée pour le magazine, ses idées ont permis de le placer numéro 1 des ventes masculines dans le pays. Autant dire qu’il est devenu quelqu’un d’influent. Pourtant, son côté fantaisiste et sa bonne humeur cache le fait qu’il n’arrive plus à accorder sa confiance en amour. En fait, il n’y croit plus vraiment car pour lui l’amour sans infidélité ne semble plus exister.

Il a toujours contact avec son frère ainé. Ils se rendent d’ailleurs visite régulièrement, surtout depuis le décès de leur père, ce qui a facilité le contact entre les deux frangins. Marié avec un fils, James l’envie un peu mais il est heureux de le voir comme ça. D’ailleurs, il attend sa prochaine visite avec impatience. En attendant….oh, il est déjà si tard ? Jamie va être en retard pour son rencard. Direction le pub irlandais… Son Bosie l’attend sûrement déjà.

pseudo › Aza et à propos de toi ? › cinéphile, sériephile voire sérieaddict, blogueuse et …aurait dû naître soit au 19e siècle, soit dans les années 20 pour être chanteuse de cabaret !l'oiseau qui t'a porté au nid › Nils la plous bellele dernier mot avant ta liberté › j’ai hâte de découvrir ma liberté parmi vous les Choux !!