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falling for betrayal is worst (cosvinsky)

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falling for betrayal is worst (cosvinsky)

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Remy Costello
esprit libre
Remy Costello
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MessageSujet: falling for betrayal is worst (cosvinsky)   falling for betrayal is worst (cosvinsky) EmptyMer 7 Juin 2017 - 7:35


“ and you were strong and i was not, my illusion my mistake
i was careless i forgot i did ”

@impossible / jamesarthur

« Où tu vas comme ça? » Tu sursautes lorsque tu entends la voix de ton frère qui remplit ta chambre. Tu te retournes vivement, une main sur ton coeur alors que ce dernier s’emballe de surprise contre ta poitrine. James, il reste dans ton cadre de porte, mais son regard te détaille de haut en bas. Tu le connais assez pour savoir qu’il désapprouve de ton habillement, mais ce n’est pas la première ni la dernière fois que tu comptes bien faire à ta tête, ignorant les commentaires de ton grand frère. « Qu’est-ce que tu fais là? » Il y a longtemps déjà que James n’habite plus la demeure des Costello. Les huit années qui vous séparent ont d’ailleurs fait de votre relation quelque chose de particulier. S’il a été très protecteur envers Arizona, il l’a été encore plus avec toi, surtout lorsque cette dernière était partie à la découverte du monde, te laissant seule derrière, James occupé avec son boulot et tes parents trop vieux pour réellement prendre le temps d’élever une autre adolescente. Tu avais été un bébé surprise pour tes parents, ce qui expliquait d’ailleurs ce si grand écart entre ton âge et celui de James et d’Arizona. Pour une grande partie de ton adolescence, tu avais dû te débrouiller majoritairement seule, si on oublie les conseils à moitié écoutés d’un James qui n’était là qu’une fois par semaine, et encore. « J’suis venue chercher Arizona. On va au cinéma. Tu veux venir? » « Non merci, j’ai déjà des plans. » Tu réponds plus sèchement que nécessaire, mais c’est un peu le ton que tu utilises en tout temps depuis que ta grande sœur est revenue. T’as toujours été un peu jalouse du lien qui unissait tes aînés, mais t’as longtemps fait ton deuil d’une relation parfaite avec eux. Tu préfères faire tes petites choses, allant même jusqu’à prétendre parfois que tu es fille unique. Mais ça, tu ne pourrais jamais l’admettre à voix haute, tu risquerais de perdre la tête. « Pas habiller comme ça j’espère. » Tu ne lui donnes aucune autre attention alors qu’il disparaît de ton cadre de porte pour se diriger vers la chambre de ton aînée. Tu prétends que tu n’entends pas leurs voix qui s’élèvent dans la pièce d’à côté, tu les ignores lorsqu’ils te souhaitent une bonne soirée du rez-de-chaussée. Tu te concentres sur tes cheveux que tu boucles légèrement, sur ton maquillage naturel et léger, tout en ajoutant une touche un peu plus provocatrice avec un rouge à lèvres plus perçant. La petite robe noire que tu portes est moulante, tu l’as volé dans le garde-robe de ta sœur lorsqu’elle était partie et elle ne semble pas encore avoir remarqué qu’elle est absente. Tant pis pour elle.

Tu sors en trombe lorsque Jade klaxonne bruyamment, son signal pour te dire qu’elle est arrivée, parce qu’un texto ce serait pas assez satisfaisant pour la blonde. Le chemin jusqu’au campus universitaire de la ville se fait dans une ambiance endiablée, la musique trop forte et vos voix qui se fondent dans les chansons. Tu ris aux éclats et ça te fait du bien d’oublier cette histoire de cinéma, d’oublier de penser à ton frère et ta sœur. Lorsque vous arrivez finalement à la résidence où se passe la soirée, tu peux apercevoir que l’ambiance est déjà bien élevée, l’alcool coulant à flot dans les red cups. Jade te cri qu’elle part se chercher quelque chose à boire et de ton côté, tu te diriges vers le salon qui sert de piste de danse. Il y a plusieurs couples qui dansent, des petits groupes de filles ici et là et tu reconnais quelques filles de ton cours que tu vas rejoindre, ton corps se trémoussant sous la musique. Tu te laisses entraîner par la musique, attrapant le verre que ton amie te tend lorsqu’elle revient et comme deux gamines, vous commencez à danser avec plus de vigueur, vos corps se collant parfois de trop près ce qui attire le regard de plusieurs garçons. Quoi de plus excitant que de voir deux filles se la jouer corps à corps? Tu te sens de plus en plus légère après chaque gorgée de ton verre, et t’es au beau milieu d’un fou rire avec la blonde lorsque ton regard croise quelqu’un que tu ne croyais jamais revoir, encore moins ici. Miles Kavinsky. Tu te raidis d’un coup, ton visage perdant toute trace de joie et de rire, et tu es incapable de regarder ailleurs. Jade remarque ta soudaine hésitation et tu peux l’entendre crier par dessus la musique. « Qu’est-ce qu’il y a? » Tu ne dis rien, ton regard toujours fixe sur le jeune brun au bout de la salle, et lorsqu’elle réalise qui est là, un air de surprise habite son visage. Parce qu’elle connaît votre histoire, à Kavinsky et tout. A teenage love turned to silence. Quand les yeux du jeune homme croise les tiens, tu prétends de ne pas l’avoir remarqué et recommence à danser, ton corps venant se coller au garçon le plus près. Appréciant les rapprochements, il vient poser ses mains sur tes hanches, mais c’est à peine si tu lui accordes un regard. Ton esprit est soudainement rempli de cet homme que tu croyais avoir oublié. Celui que t’as aimé, celui qui t’as brisé le coeur. T’arrives pas à croire qu’il est là. T’essayes de ne pas y penser, mais c’est tout simplement impossible de l’ignorer. Tu le cherches de nouveau du regard, seulement pour réaliser qu’il a lui aussi les yeux poser sur toi. Tu ne sais pas quoi faire, alors tu fais le premier truc débile qui te passe par la tête : tu passes tes bras autour du cou de l’inconnu, pour oublier qu’un autre homme qui te connaît – ou du moins te connaissait – trop bien te dévisage. En espérant que cela suffise à le faire disparaître..
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Miles Kavinsky
esprit libre
Miles Kavinsky
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MessageSujet: Re: falling for betrayal is worst (cosvinsky)   falling for betrayal is worst (cosvinsky) EmptyVen 9 Juin 2017 - 20:57


“ i know that dress is karma, perfume regret
you got me thinking 'bout when you were mine ”

@attention / charlieputh

Tu n'as pas tellement envie d'y aller à cette soirée. Tu n'as pas vraiment envie de bouger tout court. A la base, quand ton pote t'a dit que vous alliez faire une soirée, tu pensais plutôt à un truc tranquille, chez lui, à vider des bières devant des jeux vidéos beaucoup trop violents entre deux parts de pizza tiède. Apparemment, il a une autre définition de « soirée tranquille » et ça t'enchante peu. « Allez bouge, ça va être cool. » Tu restes étendu de tout ton long sur le sofa, à triturer une vieille balle de baseball, le regard perdu dans le vide. « J'sais pas, j'ai pas trop envie. » Ton collègue roule un peu des yeux avant de s'éloigner. « T'es vraiment chiant Kavinsky. Bouge, on part dans dix minutes. » En somme, tu n'as pas le choix. Tu échappes un long soupir avant de te lever mollement pour rejoindre ta chambre, histoire d'enfiler quelque chose de plus décent au niveau des fringues. « Ah bah tu vois quand tu veux. » Tu te retiens de lui rétorquer quelque chose de salé, pire encore, de lui coller une claque. Parce que bon sang ce qu'il t'agace ce gars, il parle beaucoup trop – mais ouais, c'est ton pote alors tu restes soft. Tu glisses tes doigts dans tes cheveux sombres, tu passes une chemise pour la forme et tu enfiles des chaussures un peu moins abîmées que celles que tu portais jusque là. Une veste sur les épaules, tu récupères tes clés et c'est sans surprise que tu retrouves Frank déjà dehors. Ce qu'il peut être pressé, ce type. Tu grimpes derrière le volant de ta voiture, tu démarres sans grande conviction, prêt à suivre les instructions de l'autre pour vous amener à sa petite sauterie. Quelques mètres plus loin, tu regrettes déjà ta décision et pour autant, tu presses quand même la pédale d'accélérateur.

Vous arrivez après une bonne vingtaine de minutes de route. Frank rejoint d'autres amis et t'entraîne en même temps à l'intérieur. Tu retrouves quelques connaissances que tu embrasses ici et là, tu tapes dans des mains, tu fais semblant que tout cela t'amuse, même si en réalité tu t'ennuies déjà. T'as toujours été comme ça de toute façon, à te lasser très vite. À avoir besoin de plus, sans cesse. Besoin de danger, d'adrénaline, de défis pour agrémenter la soirée. Tu dois reconnaître pourtant qu'il y a pas mal d'ambiance, selon la pièce où tu te diriges. Tu t'arrêtes finalement dans le salon, quand Frank te balance qu'il va revenir avec des bières, tu acquiesces sans prendre la peine de hausser le ton, tu sais très bien que ta voix ne va pas couvrir cette musique beaucoup trop forte. Tu profites de ce petit moment de solitude pour regarder autour de toi, chercher d'autres faces plus connues. Et elle est là, en plein milieu de cette masse mouvante. Elle est là. Tu te figes un peu d'abord, totalement incertain, puis tu relèves un peu le menton, sans te départir de cet air nonchalant qui te colle constamment à la peau. Remy. T'as le sang qui frétille dans les veines et le cœur qui loupe un battement. Ta belle blonde. Ton premier vrai amour, celui qu'on oublie pas, à ce qui se dit. Tu la regardes, dans sa belle robe un peu trop courte. Elle a encore grandi Remy. C'est devenu une belle femme, plus belle encore que celle avec qui tu sortais au lycée. Tu ne la lâches pas du regard, alors qu'elle se rapproche d'un autre type et que la jalousie te prend doucement à la gorge. T'as beau prétendre ne plus en avoir rien à faire d'elle, c'est pas vraiment le cas. C'est compliqué. T'aimerais te dire que tu n'es pas le genre de type qui s'attache, oui. Mais Remy c'est... C'est Remy. C'est différent. C'est cette fille qui a toujours mis le bordel dans ta tête, qui a toujours tout remis en question.

Tu essayes de tenir en place, de te convaincre de ne pas intervenir. Mais t'aimes pas cette manière qu'elle a de l'enlacer lui. T'aimes pas ce regard qu'il pose sur elle, et ses mains qui enserrent ses hanches. Puis, Frank n'est toujours pas revenu. Tu rumines et finalement tu quittes ta place, t'avançant avec peu de considération pour tout ce qui t'entoure sur la piste de danse improvisée. Chaque pas te ramène un peu plus à elle. Tu devrais faire demi-tour, la laisser tranquille. Parce que t'en as plus rien à faire d'elle, right ? « Hé toi, bouge de là. » Que tu fais au type qui danse avec elle. Il te regarde, pas vraiment ravi. Tu le dévisages un moment, jusqu'à ce qu'il cède le terrain dans la plus grande marque de soumission. T'as presque envie de rire mais non, t'en fais rien – tu le connais ce type, tu lui as déjà refait le nez il y a quelques mois de ça, à la sortie d'un bar. Tu te plantes finalement devant elle, le regard vissé dans le sien. « J't'ai manqué, princesse ? » Un petit sourire pour border tes lèvres, tu passes une main sur sa taille pour la rapprocher un peu plus de toi. C'est presque possessif comme geste, à un détail près : vous n'êtes plus ensemble. « Je t'avoue que j'suis un peu vexé. J'pensais que tu aurais au moins la décence de venir dire bonjour, plutôt que de m'ignorer comme ça. » Que tu lâches directement près de son oreille, pour être certain qu'elle t'entende. Tu ne sais même pas ce que tu essayes de faire là, de pourquoi est-ce que tu fais ça. Sans doute que tu cherches à lui faire du mal, encore, puisque tu n'as toujours été bon qu'à ça avec elle.
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Remy Costello
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Remy Costello
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MessageSujet: Re: falling for betrayal is worst (cosvinsky)   falling for betrayal is worst (cosvinsky) EmptyDim 18 Juin 2017 - 2:59


“ i wish i had missed the first time that we kissed
cause you broke all your promises and now you're back
you don't get to get me back ”

@jarofhearts / christinaperri

Tu as toujours cru que dans la vie, chaque histoire avait un début et une fin, peu importe. Tu ne croyais pas que les choses pouvaient simplement disparaître sans une conclusion quelconque. Du moins, c’est réellement ce que tu pensais jusqu’à ce que Miles Kavinsky n’entre dans ta vie. Jusqu’à ce qu’il se fasse une place dans ton univers pour en disparaître complètement du jour au lendemain, sans aucune explication donnée. Encore aujourd’hui, t’as aucune idée de ce qui s’est passé véritablement. Tu as entendu des rumeurs ici et là évidemment, il aurait été difficile de ne plus entendre parler de lui complètement alors que vous aviez les mêmes amis – ses amis à lui plus précisément. Mais la réalité était que pendant longtemps, personne n’avait la réponse juste et vraie de ce qui était arrivé à Kavinsky. Que des peut-être, des rumeurs, des mensonges même. Et même si tu détestais ne pas savoir, tu n’as jamais cherché la réponse. Tu n’as jamais cherché à le retrouver parce que s’il pouvait se permettre de disparaître de ta vie aussi facilement sans chercher à te dire pourquoi, à te dire au revoir, pourquoi est-ce que toi, tu perdrais ton temps à lui courir après? Alors pour la première fois, tu avais une histoire sans fin. Une histoire sans conclusion. Et cette histoire, elle avait laissé un trou béant dans ta vie. Elle avait des cicatrices sur ton coeur, des blessures qui ne seraient jamais complètement guéries malgré le temps qui est passé. Tu as appris à vivre avec, il n’y a aucun doute là-dessus, mais depuis le jeune homme, tu es méfiante lorsqu’il est question de la gente masculine. Tu n’as pas envie de t’offrir à qui que ce soit d’autres, pas envie d’aimer à nouveau, d’être vulnérable. Comme si cette peur d’être mise de côté si drastiquement une fois de plus te paralysait sur place et t’empêchait de passer à autre chose. Et tu n’avais qu’une seule et simple personne à blâmer pour cette partie de toi changée à jamais. Et cette personne, elle posait son regard sur toi pour la première fois depuis des années.

Tu aimerais bien être indifférente, mais tu sens ton coeur qui s’emballe contre ta poitrine alors que vos regards sont figés l’un dans l’autre. Même si tu sais qu’il t’a vu, et qu’il sait aussi que tu l’as vu, tu ne te sens pas prête à lui faire face. Pas prête à devoir faire face à une possible conclusion sur laquelle tu as mis une croix il y a si longtemps déjà. Ton premier réflexe est donc de prétendre, de faire semblant, de jouer l’innocente, parce que c’est tellement plus facile que de faire face à ce qui fait mal, à ce qui fait peur. Tes bras autour du cou d’un homme sans nom, ses mains qui se posent sur tes hanches, qui te rapproche de lui, c’est une solution facile, limite c’est une solution lâche. Mais ça ne prend que quelques minutes avant que tu ne réalises qu’en réalité, ce n’était pas une solution du tout. Tu reconnaîtrais cette voix parmi mille, même après tout le temps qui s’est installé entre vous. Elle est un peu plus grave que dans ton souvenir, la preuve encore que vous n’êtes plus ceux que vous étiez encore au lycée. Et si tu évites de te tourner vers lui pour le regarder, tu sens l’autre homme se défaire de ton étreinte, te laissant complètement vulnérable aux mains de celui qui t’a brisé le coeur. Tu regardes partout autour de toi sauf dans la direction de Miles, à la recherche d’une autre bouée de sauvetage, mais tu sais que tu es prise au piège. Il se place devant toi, son regard venant se planter dans le tien et si tu as envie de l’ignorer, tu ne le lâches pas des yeux toi non plus. T’es plus la gamine vulnérable d’avant. Tu ne vas pas lui tomber dans les bras simplement parce qu’il en a envie. Après tout ce temps tu ne lui appartiens plus. Du moins, c’est ce que tu te répètes, encore et encore alors que la distance entre vous diminue et t’as soudainement l’impression que vous êtes seuls, même au milieu de la foule. Shit.

« Qu’est-ce que tu m’veux Kavinsky? » T’es tentée une fois de plus de dégager ses mains de sur toi, mais tu n’en fais rien, même si ses rapprochements te font plus de mal que tu ne le laisses paraître. Il y a une partie de toi qui n’est pas véritablement surprise du comportement du jeune homme, une autre qui te cri qu’il est vraiment plein de culot de revenir comme toi maintenant, comme ça, au beau milieu d’une soirée après tout ce temps de silence. Mais lui, il fait comme si de rien était. Il joue le petit comique, son visage trop bien du tien, ses lèvres contre ton oreille pour te dire qu’il est presque vexé de ton comportement, de ta façon d’agir. Tu échappes un petit rire sarcastique, mais tu ne prends même pas la peine de lui répondre. Ce n’est pas vrai que tu vas avoir cette discussion en criant au beau milieu de tout le monde. Pas question de lui laisser l’avantage de se coller autant qu’il veut contre toi. Alors tu t’empresses de prendre sa main et sans dire un mot de plus, tu le forces à te suivre alors que tu te diriges vers l’étage, là où tu sais qu’il y aura sûrement une pièce de vide. Tu montes l’escalier rapidement, ta main ne lâchant pas celle du jeune Kavinsky, dans un geste qui est presque trop familier. La première porte que tu ouvres donne sur un couple à moitié à poil dans le lit, tu échappes un soupir avant de refermer la porte. « Te fais surtout pas d’idées, on est pas là pour ça. » Ta voix est sèche, t’as vraiment pas envie de jouer, pas envie de rire. Tu ouvres une deuxième porte qui donne sur chambre vide, et tu laisses Miles passer devant toi avant de fermer la porte derrière vous. C’est peut-être dangereux ce petit jeu, mais tu t’en fiches. T’aurais très bien pu passer la soirée sans avoir à lui faire face, et il a choisi que ça allait se passer différemment. Toi aussi, tu peux lui montrer que t’es en charge de ce qui se passe. « J’me suis dis qu’on serait mieux dans le silence pour un petit talk, après quatre ans, tu m’dois bien un peu d’explications, qu’est-ce que tu en penses? »
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